Une centaine de manifestants se sont mobilisés mercredi pour soutenir le fondateur de Wikileaks. La justice britannique examine l’appel des Etats-Unis, déboutés en première instance, qui demandent toujours son extradition. Julian Assange n’assiste pas à cette audience. Trop affaibli, il est resté dans la prison londonienne où il est détenu depuis deux ans et demi.


Sur l’air de Give peace a chance, l’hymne pacifiste de John Lennon, une centaine de manifestants agitent leurs pancartes : « Libérer Julian Assange » ou « Informer n’est pas un crime », peut-on y lire.Stella Morris. La compagne de Julian Assange et mère de ses deux enfants déclare « Ce qui se passe aujourd’hui : un tribunal britannique va-t-il extrader un journaliste vers un pays qui a conspiré pour l’assassiner ? C’est totalement impensable ! »
Là-bas, il risque la prison à vie. Une expertise médicale parle de ses pensées suicidaires. Un sombre projet qu’il pourrait mettre à exécution s’il était contraint de traverser l’Atlantique
https://azvsas.blogspot.com/2021/10/report-on-picket-of-julian-assange.html
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