Il y avait du soleil et du monde ce samedi sous le pont de Grenelle, autour de la statue de la liberté, pour réclamer la libération de Julian Assange.
Dans de nombreuses villes, dont Londres où Julian Assange est incarcéré, et où le Parlement a été encerclé, le scandale de la détention du fondateur de Wikileaks a été dénoncé.
A Paris, plusieurs interventions, de représentants de la presse, des artistes, de Karen Sharpe, l’autrice du livre sur Julian Assange, de syndicalistes, et d’Europalestine, ont souligné l’exemplarité de Julian Assange et l’importance, pour l’ensemble des citoyens, de ses révélations sur les crimes commis notamment par les Etats-Unis dans de nombreux pays, et sur leurs mensonges pour tenter de les justifier.
Deux parlementaires du Tarn et de Dordogne sont également venues lire une déclaration en soutien à Julian, au nom de LFI NUPES :
« Ne pas soutenir Julian Assange, comme nous l’avons dit, c’est accepter que nous soyons tous et toutes de plus en plus espionnés, contrôlés, dans nos faits et gestes, dans nos propos, et c’est se soumettre à la loi des médias chiens de garde du capital ».
CAPJPO-EuroPalestine
