Qui s’étonnera du fait que Chemseddine Hafiz, le recteur de la Grande Mosquée de Paris n’ait pas bronché quand on lui a annoncé que la prière de Dhor serait annulée en raison du passage de la flamme Olympique le 14 juillet ?
Il a fallu un petit scandale pour que finalement la prière soit autorisée dans une salle annexe.
Et que la flamme soit portée par une certaine Léa, pro-Israel, qui portait un bracelet jaune pour réclamer la libération des otages israéliens et dont la mère s’est vantée sur Facebook : « Nous avons crié Mazel Tov devant la mosquée et tout le monde savait que nous faisions cela pour les otages », ne posait pas le moindre problème non plus au recteur, qui adressait il y a peu ses condoléances à la famille de Gilles Taieb bien connu en tant que pourfendeur actif des droits de Palestiniens.
CAPJPO-Europalestine
