Khalida Jarrar, chercheuse à l’Université de Birzeit (près de Ramallah en Cisjordanie occupée), militante féministe et figure emblématique de la gauche Palestinienne est en danger de mort dans les prisons de l’occupant.
Comme nous l’écrivions, elle est à l’isolement depuis le 12 août 2024, dans des conditions extrêmement difficiles dans la prison de Neve Tirza, dans une cellule de 2m/1m50, sans fenêtre ni aération( http://Khalida Jarrar est une universitaire et chercheuse à l’Université de Birzeit, élue au Conseil Législatif Palestinien lors des élections de 2006, militante féministe et figure emblématique de la gauche Palestinienne. Elle a été arrêtée le 26/12/2023 par les forces d’occupation)
Cette élue au Conseil Législatif Palestinien lors des élections de 2006, a été arrêtée de multiples fois, toujours en détention dite « administrative », c’est à dire sans charges ni procès, pour une durée renouvelable indéfiniment, sur la base de dossiers gardés secrets . Elle a été arrêtée le 26/12/2023 par l’armée coloniale alors qu’elle devait participer en ligne à un colloque international pour présenter ses recherches sur les violences et abus que subissent les prisonnier·es palestinien·nes dans les prisons coloniales, et l’aggravation de leurs conditions de détention après le 7 octobre.
Partout où nous le pouvons, montrons notre solidarité, dans les rues, les universités, par le biais d’événements, de lâchés de banderole, de collages, de peintures et fresques, de rassemblement et manifestations : Solidarité avec Khalida Jarrar et tous·tes les prisonnier·es palestinien·nes !
Appel signé par une centaine d’organisations
CAPJPO-Europalestine
