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La nouvelle présidente de la Cour Internationale de Justice (CIJ) roule pour les génocidaires

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De nouvelles révélations permettent de confirmer que la présidente par intérim de la Cour Internationale de Justice (CIJ), Julia Sebutinde, est un agent israélien, qu’elle soit stipendiée ou pas peu importe.

Julia Sebutinde, présidente par intérim de la CIJ depuis janvier 2025

Sebutinde, citoyenne ougandaise, était jusqu’à récemment vice-présidente du Tribunal Mondial .

Mais lorsque le président de la CIJ, le Libanais Nawaf Salam, a été nommé le mois dernier Premier Ministre de son pays, c’est elle qui l’a remplacé, à titre intérimaire, à la tête de la juridiction.

On connaissait déjà le parti pris pro-Israël de la magistrate : en juillet 2024, elle avait ainsi été la seule, sur 15 juges, à voter contre une résolution constatant l’évidence, à savoir l’illégalité de l’occupation des territoires Palestiniens conquis par Israël en 1967, caractérisée par les juges comme étant « un système de ségrégation raciale et d’apartheid ». 

Mais les chercheurs palestinien Majid Abouamer et américain Norman Finkelstein ont trouvé mieux encore.

Ils révèlent ainsi que le papier de Sebutinde censé refléter son opinion minoritaire était une copie pure et simple de propagandistes israéliens, que la magistrate s’est évidemment bien gardée de citer nommément, et pour cause.

Des phrases entières de son mémoire sont repiquées mot pour mot de la vidéo d’un certain David Brog, animateur des Chrétiens Unis pour Israël et de la Task Force Maccabi, dont l’objet est de combattre la campagne BDS.

Julia Sebutinde a également recopié des écrits des pseudo-juristes Abraham Bell et Eugene Kantorovitch, deux hommes pour qui « Israël n’a aucune obligation légale de laisser les déplacés de la bande de Gaza retourner chez eux dans le nord du territoire » !

Stop ou encore ? Après avoir repris -toujours sans citer ses sources- un texte pro-génocidaires de l’International Association of Jewish Lawyers (IJL), Madame Sebutinde a également repiqué la prose de Douglas Feith, l’un des faucons de l’administration Bush au début des années 2000.

Source : https://www.middleeasteye.net/news/fresh-allegations-emerge-plagiarism-icj-president-israel-opinion

CAPJPO-EuroPalestine

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