Les forces d’occupation israéliennes ouvrent le feu sur l’équipe d’Al Jazeera Mubasher à Beit Hanoun, dans le nord-est de la bande de Gaz, violant une novelle fois le cessez-le-feu. Il est clair que Netanyahou cherche à ce qu’il soit remis en cause.
Le président américain Donald Trump a déclaré lundi qu’il ne pouvait pas garantir que le cessez-le-feu à Gaza se poursuivrait.
Dans ses déclarations à la presse il a une fois de plus confondu le Mozambique avec la Palestine, citant un programme de 50 millions de dollars pour distribuer des préservatifs.
Toujours est-il que les Gazaouis qu’il voudrait déporter continuent à affirmer leur attachement à leur terre. Pour le septième jour consécutif, les déplacés de Gaza continuent de rentrer chez eux dans le nord de Gaza via la rue Salah Al-Din.
A Rafah, les travailleurs continuent à déblayer les chaussées ;
Et pour la première fois depuis plus d’un an, la municipalité d’Al-Nuseirat a repris l’éclairage des rues après que les forces d’occupation israéliennes ont coupé l’électricité à Gaza depuis le début du génocide
Le troisième groupe d’enfants malades et blessés, s’est mis en route pour se faire soigner à l’étranger en passant par le poste frontière de Rafah, dans le sud de la bande de Gaza.
En vertu de l’accord de cessez-le-feu entré en vigueur le 19 janvier, Israël doit ouvrir le passage de Rafah avec l’Égypte sept jours après le début de la première étape pour permettre l’entrée d’environ 300 personnes par jour.
CAPJPO-Europalestine
