Bernard Kouchner, quelques jours après son patron Sarkozy, a apporté sa contribution, au cours du week-end, aux préparatifs israélo-occidentaux de bombardement, le cas échéant avec des charges nucléaires, de l’Iran.
« Il voudraient transformer Gaza en une ferme pour animaux », c’est ce qu’à déclaré Raji Sourani, responsable du Centre Palestinien pour les Droits de l’homme (PCHR) aux 7 membres de la délégation du parlement britannique qui s’est déplacée à Gaza la semaine dernière.
Deux événements à ne pas rater. Venez nombreux et invitez vos amis !
C’est la question posée par ACRIMED sur son site dans un article intitulé : « Quand Le Monde recycle un rapport des RG sur les « bandes ethniques ». A lire ci-dessous.
L’agence de presse américaine Associated Press (AP) a apparemment été la seule à révéler comment Bernard Kouchner prend ses ordres directement, et en public, de la ministre israélienne des Affaires étrangères Tzipi Livni.
Le ministre français des Affaires étrangères Bernard Kouchner a été l’un des premiers à réagir, mardi, au tir de roquettes sur une base de l’armée israélienne, en bordure de la bande de Gaza, qui a fait une soixante de blessés, dont plusieurs grièvement, dans les rangs militaires israéliens.
Sderot : les roquettes permettent de passer les magouilles et la misère sous silence. « Quasiment la moitié de la population du sud vit d’allocations mensuelles versées par l’Etat. On ouvre des soupes populaires dans presque toutes les localités, les associations caritatives poussent comme des champignons ». Daniel Ben Simon décrit ce que les journalistes se gardent bien de mentionner : un sud israélien abandonné depuis longtemps à la mafia locale.
La révélation de l’existence d’une bande de jeunes adorateurs d’Hitler semant la terreur dans la région de Tel-Aviv provoque un embarras certain dans la classe politique et les médias israéliens.
Nous reproduisons ci-dessous l’appel de BRICUP, Comité anglais pour les Universités palestiniennes, qui souhaite regrouper le plus grand nombre possible d’universitaires, d’écrivains et d’artistes, afin de répondre à l’appel palestinien au boycott universitaire et culturel d’Israël (PACBI)
Les inégalités économiques se creusent, notamment au détriment des minorités non juives, selon les dernières statistiques publiées lundi par l’Institut National des Assurances israélien.
