Des peintres de Gaza exposent à Paris et à Carjac
A Paris comme dans le Lot, deux expositions de peintres de Gaza :
A ne pas rater !

A Paris comme dans le Lot, deux expositions de peintres de Gaza :
A ne pas rater !
Depuis l’annonce du cessez-le feu, il y une semaine, Israël a passé son temps à le violer, tuant et blessant de nombreux Palestiniens, attaquant des civils, sans que la « communauté internationale », ONU, Quartette et autres gadgets, ne lèvent le petit doigt. Bilan dressé par le Centre Palestinien des Droits de L’homme (PCHR).
Quelque 120 cyclistes, petits et grands se sont retrouvés samedi dernier Place de l’Hotel de Ville, pour une randonnée à vélo inédite et colorée dans la capitale ensoleillée.
Vous avez dit « laïcité » ? François Pupponi, maire de Sarcelles n’en a rien à faire quand il s’agit de faire affaire avec la « communauté juive » et de renvoyer l’ascenseur pour bons et loyaux services électoraux. Les élus de Sarcelles peuvent, porter kippa ou perruque, refuser de serrer la main aux administrés du sexe masculin, et se servir de leurs mandats d’élus pour faire leur beurre, celui qui y voit quoi que ce soit à redire sera traité d’antisémite ! Un citoyen de Sarcelles raconte.
Une analyse du militant anticolonialiste israélien Uri Avnery sur le cessez-le-feu contracté entre Israël et le Hamas.
Cela continue et ce n’est pas prêt de s’arrêter. Des groupes terroristes comme le Betar et la Ligue de Défense Juive (LDJ), qui s’entraînent militairement dans des locaux connus de la police, et qui agressent régulièrement des manifestations pacifistes ou se livrent à des ratonnades, sont tolérés par le gouvernement français malgré leur dangerosité. Ils suscitent nécessairement la formation de bandes constituées de jeunes qui en ont assez de se faire attaquer et qui ne demandent qu’à en découdre. Crier à l’antisémitisme quand un jeune nervis juif, qui a plusieurs agressions à son actif, se fait à son tour rouer de coups, c’est couvrir une fois de plus les agissements de ces groupes violents au lieu de de prendre la seule mesure qui s’impose : l’interdiction !
Le rapport du Comité public contre la torture en Israël (PCATI), rendu public le 22 juin, fait état de brutalités et sévices infligées « de manière routinière » par l’armée israélienne aux Palestiniens arrêtés et détenus, y compris quand ils ne présentent pas le moindre danger. Ces traitements cruels et dégradants, comme l’utilisation de chiens, incluent les enfants. Article publié par Haaretz ci-dessous.
Merci à Carole Sandrel pour sa traduction du témoignage de Mona, qui décrit ce qu’elle subit, ainsi que sa famille, en tant que Palestinienne de Jérusalem.
Le jeune photographe britannique Rich Wiles a relaté il y a peu de temps, à la librairie Résistances, et publié en images et commentaires, une expérience similaire avec les jeunes du camp de réfugiés de Lajee à Aïda (Béthléem). Aujourd’hui, Julien Salingue, nous raconte, de Naplouse, comment les jeunes du camp de Balata réagissent quand ils ont la possibilité de se rendre sur les terres de leurs grands-parents.
Le Ministère des Affaires Populaires, un groupe de rap génial, dont les textes sont époustouflants, donne un concert de soutien à la Palestine ce mardi soir à Paris. Nous y serons !