Des professeurs d’université ont initié une pétition, pour exiger la cessation immédiate de l’attaque israélienne contre le Liban. Leur appel, sous le titre « Rien ne justifie le massacre des innocents », a paru lundi dans « Le Figaro ». Le voici :
Notre association CAPJPO-EuroPalestine s’associe à cette excellente initiative lancée par les Indigènes de la République et donne rendez-vous à ses adhérents et sympathisants de la région parisienne jeudi 10 août à 18 H 30, à la Place d’Italie, devant le grand centre commercial (+ salles de cinéma).
Nous relayons un appel à un nouveau rassemblement contre les massacres israéliens au Liban mardi 8 Aout, 19h, Place de la Bastille.
Deux personnes ont été hospitalisées, lundi à Ramallah, après que l’une d’entre elles eut ouvert une enveloppe, postée à Tel-Aviv, et adressée au Premier ministre palestinien Ismaël Hanyeh.
Un nouveau thème a fait son apparition dans la propagande israélienne, aussitôt relayée par une série de journalistes tsahalisés, en France et ailleurs : celui du « réserviste », combattant pas tout à fait comme les autres de l’armée israélienne, moitié brave citadin, moitié soldat conscient de faire son « devoir », aussi douloureux soit-il.
Le Président du Venezuela, Hugo Chavez a annoncé jeudi le rappel de son ambassadeur en Israël, pour protester contre la politique criminelle des dirigeants de ce pays au Liban.
L’armée israélienne a salué à sa manière, l’impunité qui lui a été renouvelée samedi soir à l’ONU par les Etats-Unis et la France, en enlevant, à son domicile de Ramallah (Cisjordanie occupée), le Président du Conseil législatif palestinien (parlement), Aziz Doweik.
Le journal Le Monde a récolté les fruits de son apologie des crimes de guerre commis par Israël au Liban et en Palestine : des poubelles sous le signe « Stop à la collaboration avec le terrorisme d’Etat israélien » comme on peut le voir sur la photo ci-dessous
Confrontée à l’échec patent de son aventure terroriste, la junte dirigeante israélienne a choisi, depuis jeudi, de poursuivre sa guerre d’extermination du Liban et de la Palestine.
Deux éditoriaux de Uri Avnery (Gush Shalom) qui dressent un état des lieux du fiasco israélien, tant du côté des militaires que des politiques, sans parler des mouvements israéliens soi-disant « pour la paix ».
