Pédaler aux couleurs de la Palestine
MOBILISATION DU 21/06/2008
Lettre de Patrick Braouezec, député de Seine-Saint-Denis, à Bernard Kouchner.
Muhammad Omar, qui revenait à Gaza après avoir reçu le prix 2008 Martha Gellhorn du Journalisme à Londres, a été sauvagement agressé et humilié par les services secrets israéliens.
« Nous sommes heureux d’annoncer que l’Espagne a rejoint les pays où des poursuites judiciaires ont été engagées contre les militaires israéliens, comme la Grande-Bretagne, la Suisse, la Hollande, les Etats-Unis ou la Nouvelle Zelande. Et nous espérons que justice sera rendue aux victimes », indique le Centre palestinien des droits de l’Homme (PCHR dans un communiqué du 26 juin, que nous venons de traduire.
A Paris comme dans le Lot, deux expositions de peintres de Gaza :
A ne pas rater !
Depuis l’annonce du cessez-le feu, il y une semaine, Israël a passé son temps à le violer, tuant et blessant de nombreux Palestiniens, attaquant des civils, sans que la « communauté internationale », ONU, Quartette et autres gadgets, ne lèvent le petit doigt. Bilan dressé par le Centre Palestinien des Droits de L’homme (PCHR).
Quelque 120 cyclistes, petits et grands se sont retrouvés samedi dernier Place de l’Hotel de Ville, pour une randonnée à vélo inédite et colorée dans la capitale ensoleillée.
Vous avez dit « laïcité » ? François Pupponi, maire de Sarcelles n’en a rien à faire quand il s’agit de faire affaire avec la « communauté juive » et de renvoyer l’ascenseur pour bons et loyaux services électoraux. Les élus de Sarcelles peuvent, porter kippa ou perruque, refuser de serrer la main aux administrés du sexe masculin, et se servir de leurs mandats d’élus pour faire leur beurre, celui qui y voit quoi que ce soit à redire sera traité d’antisémite ! Un citoyen de Sarcelles raconte.
Une analyse du militant anticolonialiste israélien Uri Avnery sur le cessez-le-feu contracté entre Israël et le Hamas.
Cela continue et ce n’est pas prêt de s’arrêter. Des groupes terroristes comme le Betar et la Ligue de Défense Juive (LDJ), qui s’entraînent militairement dans des locaux connus de la police, et qui agressent régulièrement des manifestations pacifistes ou se livrent à des ratonnades, sont tolérés par le gouvernement français malgré leur dangerosité. Ils suscitent nécessairement la formation de bandes constituées de jeunes qui en ont assez de se faire attaquer et qui ne demandent qu’à en découdre. Crier à l’antisémitisme quand un jeune nervis juif, qui a plusieurs agressions à son actif, se fait à son tour rouer de coups, c’est couvrir une fois de plus les agissements de ces groupes violents au lieu de de prendre la seule mesure qui s’impose : l’interdiction !