La sénatrice Alima Boumediene-Thiery intervient auprès du Secrétariat d’Etat chargé des Affaires étrangères et des droits de l’Homme pour exiger la libération de Salah Hamouri
Alima Boumediene-Thiery souligne notamment que l’argument du Quai d’Orsay (à géométrie variable, comme on a pu le constater, ndlr), selon lequel le gouvernement ne pourrait « interférer avec la justice d’un autre pays », est contredit par la jurisprudence de la Cour Internationale de Justice.
Lire ci-dessous la lettre de la sénatrice à Rama Yade.