Un édito courageux de Pierre-Luc Séguillon sur LCI
La chose est suffisamment rare pour être relevée. Nous remercions Pierre-Luc Séguillon pour son éditorial d’hier mardi sur LCI, concernant la politique israélienne.
La chose est suffisamment rare pour être relevée. Nous remercions Pierre-Luc Séguillon pour son éditorial d’hier mardi sur LCI, concernant la politique israélienne.
Le tribunal administratif de Bordeaux a infligé mercredi un cinglant désaveu au CRIF, à la préfecture de la Gironde et à la mairie de Cenon, qui entendaient interdire aux enfants de la troupe Al Rowwad (camp de réfugiés palestiniens d’Aïda) de présenter leur spectacle dans la commune.
Les agressions israéliennes dans la Bande de gaza constituent, selon la Suisse, une violation flagrante deu droit international. Que fait la communuaté internationale et, et notamment la France qui préside tout le mois de juillet le conseil de sécurité de L’ONU ?
Nous publions ci-dessous un appel au soutien financier de prisonniers politiques palestiniens, militants du FPLP, lancé par notre ami Eric Hazan (La Fabrique Editions)
A lire, ci-dessous, un reportage de l’envoyé spécial du journal Le Monde, Benjamin Barthe, décrivant la situation à l’hôpital Shifa (bande de Gaza). Des centaines de dirigeants gouvernementaux et hauts fonctionnaires français liront cet article cet après-midi à leur bureau, après avoir déjeuné plus ou moins copieusement. Mais cela ne troublera pas leur digestion pour autant.
Nous publions ci-dessous la lettre ouverte adressée par Françoise Vallet, conseillère municipale PS d’opposition de la ville de Chartres (Eure-et-Loire) au maire de la ville de Cenon (Gironde), après la décision de ce dernier de céder aux pressions de la préfecture et du CRIF pour annuler le spectacle « Nous sommes les enfants du camp » des enfants du camp de réfugiés palestiniens d’Aïda (Bethléem).
Le quotidien Libération publie lundi une « enquête », ayant pour objet et prétention d’apporter au lecteur un point complet sur l’affaire du bombardement aérien d’un campement de l’armée française à Bouaké, en Côte d’Ivoire, le 6 novembre 2004.
Cette opération avait tué 9 militaires français, et blessé 38 autres.
L’article affirme que « la France a laissé faire » le raid aérien contre ses propres forces commandé par le président ivoirien Laurent Gbagbo , et il apporte une série de témoignages en appui de cette thèse.
Mais très curieusement l’auteur de « l’enquête » omet de citer un épisode très concret, et avéré, de cette affaire. A savoir la présence, en novembre 2004 à Abidjan, d’une équipe de 46 conseillers militaires israéliens, embauchés par une firme privée avec l’aval du gouvernement israélien, et chargés d’opérer un système complet d’avions sans pilote (des drones) pour le compte du président Gbagbo.
« Un Etat qui franchit de telles étapes ne se distingue désormais plus d’une organisation terroriste », écrit à propos d’israël, le journaliste israélien Gideon Levy dans Haaretz. Un constat auquel on n’a simplement envie d’ajouter que le « désormais » est de trop.
Ecrivez, Télépnonez d’urgence ! La Mairie de Cenon (près de Bordeaux) et le Festival des Hauts de Garonne viennent d’annuler, à la demande du CRIF, les deux représentations théâtrales des enfants palestiniens d’Al-Rowwad (Aïda) et de Naplouse. Lire le communiqué que nous fait parvenir ce jour le Comité Action Palestine de Bordeaux.
Nous signalons ci-dessous les nouveaux appels à manifester qui nous sont parvenus.