Deuxième mauvaise soirée pour Sarkozy, Le Pen et Finkielkraut
Les racistes en sont pour leurs frais. L’équipe de football française, qu’ils n’ont cessé de dénigrer parce que trop « colorée », leur a fait un beau pied de nez ce soir.
Les racistes en sont pour leurs frais. L’équipe de football française, qu’ils n’ont cessé de dénigrer parce que trop « colorée », leur a fait un beau pied de nez ce soir.
Nous publions le communiqué envoyé par l’association des professeurs universitaires de la Bande de Gaza.
Des manifestations dans plusieurs villes de France nous sont signalées ce week-end, mais aussi à l’étranger, à Genève, à Casablanca, à Rabat. N’hésitez pas à nous communiquer les actions prévues dans votre ville.
(Communiqué de presse) – Pendant que les gouvernements du monde entier se mobilisent pour « sauver le soldat Schalit », l’Etat d’Israël perpètre une agression d’une gravité sans précédent contre la population palestinienne, qu’il menace désormais ouvertement d’anéantissement.
Nous publions ci-dessous un article de Rifat Odeh Kassis, président de la Direction Internationale de l’association Defence for Children International (DCI.
Manifestons nombreux contre le terrorisme israélien, contre l’obscénité des scribouillards pompeusement appelés journalistes, contre la barbarie !
Sarkozy vient d’annoncer la nomination d’un policier israélien, Arno Klarsfeld, pour opérer une sélection entre les enfants de parents sans papiers scolarisés qui seront autorisés à rester en France, et ceux qui seront expulsés.
(texte repris de la liste de diffusion assawra) :
« Nous avons stocké des réserves de sang… »
( Dr. Moussa, de l’hôpital de Rafah )
Des hommes, des femmes, des enfants s’entassent dans des voitures ou des charrettes tirées par des chevaux. Ils fuient les chars des forces d’occupation qui ont pénétré mercredi 28 juin avant l’aube dans le sud de la bande de Gaza.
L’armée de terre israélienne est entrée en force, mercredi matin, dans la bande de Gaza, en déployant plusieurs milliers d’hommes dans les zones de Khan Younes et Rafah (sud de ce minuscule territoire), tandis que ses avions détruisaient des ponts et des installations électriques, pour écraser un peu plus encore la population locale.
Un de nos lecteurs, diacre dans la région toulousaine, nous transmet deux messages : le sien et celui du curé catholique de Gaza.