SOMMET ABBAS / SHARON : PROCESSUS DE PAIX OU ENTREPRISE SECURITAIRE
Ci-dessous, une contribution signée de Nazem Ghemraoui sur le sommet qui vient de se tenir à Charm al-Cheikh
Ci-dessous, une contribution signée de Nazem Ghemraoui sur le sommet qui vient de se tenir à Charm al-Cheikh
La quinzaine culturelle sur la Palestine, qui a démarré le 3 février dernier à l’initiative de l’AFPS Nord-Pales Calais remporte un vif succès. Elle se poursuit jusqu’au 13 février.
Les dernières statistiques produites par le club des prisonniers palestiniens Nadi Al-asir font état de conditions de détention toujours aussi déplorables et illégales. Il exige notamment le respect des Conventions de Genève, ainsi qu’un « agenda clair et limité dans le temps pour la libération des prisonniers selon des priorités humaines ».
Les autorités israéliennes ont procédé à deux nouvelles annonces, alors que se tient le « sommet » de Charm al Cheikh, plus concrètes et plus significatives que bien des discours.
A lire, ci-dessous, une contribution de Pierre-Yves Salingue sur le « sommet » Sharon-Abbas ce mardi 8 février à Charm al-Cheikh (Egypte). Pierre-Yves Salingue milite notamment dans l’association Nanterre-Palestine.
Madeleine Rebérioux, universitaire, militante de longue date des droits de l’homme, est décédée lundi à l’âge de 84 ans, ont annoncé ses proches.
(communiqué de l’association israélienne B’Tselem) – Depuis le début de l’intifada Al-Aqsa, l’armée israélienne n’a ouvert que 90 enquêtes de police militaire relatives à des cas de Palestiniens tués ou blesses, alors que les soldats israéliens ont tué au moins 1.694 Palestiniens n’ayant pas pris part à des actions hostiles, dont 536 mineurs.
Nous reproduisons ci-dessous le témoignage d’une militante parisienne qui vient de passer 8 jours en Palestine.
L’association « Palestine en Marche » dénonce les nouvelles manoeuvres du gouvernement israélien qui lâche quelques « miettes » concernant la libération de prisonniers palestiniens et joue encore sur les nerfs de la population palestinienne.
Le procès qui vient de se dérouler vendredi 4 février à Bordeaux, où deux militants du Comité Palestine 33 comparaissaient pour avoir apposé en octobre dernier des autocollants « Boycott des produits made in Israel » sur des jus d’orange d’un magasin Champion, s’est transformé, au grand dam du juge qui souhaitait rester sur le terrain de la « dégradation de biens » en procès contre l’occupation des territoires palestiniens.