« Pour des raisons tenant aux difficultés d’organisation du tribunal de Toulouse, le procès qui m’a été intenté par l’Agrif, une association intégriste d’extrême-droite, pour avoir employé le néologisme « souchiens », sera reporté ».
Suites aux attaques de Max Havelaar, contre lui, Christian Jacquiau, expert comptable et spécialiste du commerce équitable, qui a écrit plusieurs livres passionnants sur les coulisses de la grande distribution et celles du commerce équitable, comparaîtra la 19 octobre à la Cour d’Appel de Paris, et nous serons nombreux à la soutenir.
Soutenir Georges Ibrahim Abdallah c’est aussi soutenir la libération des 11.000 prisonniers palestiniens emprisonnés et torturés en Israël, dont des centaines de femmes et d’enfants.
Une très grande manifestation aura lieu à Paris lundi prochain, à l’occasion de la commémoration des 50 ans du 17 octobre 1961, pour la reconnaissance par l’Etat français des crimes commis par la police parisienne contre des milliers d’Algériens, ce jour-là.
CAPJPO-EuroPalestine
Présentation du livre « Au coeur des couloirs de la mort » par Arnaud Gaillard (aux éditions Max Milo), jeudi 13 octobre à 19h30, à la librairie Résistances.
Soirée d’information pour la campagne de soutien à Houria Bouteldja à la veille du procès qui l’accuse de « racisme antiblanc », mardi soir 11 octobre et
RASSEMBLEMENT DEVANT LE TRIBUNAL DE TOULOUSE LE MERCREDI 12 OCTOBRE A 13H. (le procès débutera à 14 H salle 5).
Manifestation samedi 8 octobre 2011 à Lille pour protester contre le rassemblement d’envergure nationale organisée ce jour-là à Lille par la frange la plus dure de l’extrême droite française (des nationalistes autonomes aux identitaires en passant par les néo-nazis).
Tous sur le Parvis des droits de l’homme au Trocadéro (Paris) ce dimanche 9 octobre, en soutien aux prisonniers politiques palestiniens !
De nombreux événements sont programmés dans les jours qui vont venir à l’occasion du cinquantenaire du 17 octobre 1961, date à laquelle la police française se livra à des crimes atroces sur la population algérienne qui manifestait de manière pacifique contre le couvre-feu décrété à son encontre. Une page terrible de l’histoire de France, qui n’a toujours pas trouvé sa place dans nos livres d’histoire, qui ne peut donc pas être tournée.. Un tabou qui prive des générations entières de Français d’origine algérienne de toute possibilité de deuil.
