C’est un bras de fer qui dure depuis 4 mois, et pour le moment la présidente du Brésil, Dilma Rousseff, n’a pas cédé aux injonctions et menaces du gouvernement israélien qui veut lui refourguer un ambassadeur qui réside dans une colonie et qui est connu pour être à la tête du mouvement de développement de la colonisation de la Palestine.
Plus de 25 municipalités espagnoles pratiquent le boycott d’Israël, de même que 1500 universitaires et chercheurs dans le pays.
La célèbre écrivain palestino-américaine a repoussé une offre de publication de ses livres Israël, et elle tient à faire savoir qu’elle participe au boycott économique et culturel d’Israël.
Rejoignant la campagne de boycott universitaire d’Israel, largement entamée en Grande-Bretagne et en Irlande, 200 professeurs d’université et chercheurs sud-africains viennent de s’engager à boycotter Israel au niveau académique.
Après les déclarations d’allégeance inconditionnelle à Israel faite par Valérie Pécresse entre les deux tours des élections régionales, nous vous demandons de signer et faire signer cette pétition :
Beaucoup de monde ce mercredi à Toulouse devant le tribunal pour soutenir les 4 inculpés BDS, malgré l’annonce d’un très probable renvoi. Ambiance joyeuse et déterminée, sous un beau soleil !
Ils ne sont pas que « bio », ils sont aussi contre les produits des colonies et les réactions hostiles n’entament pas leur décision, rapporte Times of Israël à propos d’une coopérative du quartier de Florentine à Tel Aviv.
Pas trop tôt ! La campagne internationale BDS a enfin obtenu du Haut Comité aux Réfugiés de l’ONU (UNHCR) qu’il mette fin à son contrat de 22 millions de dollars avec la firme de sécurité G4S qui collabore avec Israël à l’occupation et à la persécution des Palestiniens.
Mercredi 9 décembre prochain, le procès des 4 militants BDS de Toulouse sera très probablement renvoyé, à la demande des officines israéliennes. L’audience de fixation de la prochaine date sera donc très courte. Le rassemblement devant le tribunal de Toulouse à 13 H est toutefois maintenu pour les militants locaux.
Les militants marocains ne relâchent pas leur pression contre la collaboration israélo-marocaine. Septième sit-in pour demander l’expulsion de la société israélienne ZIM Casablanca, du port de Casa par lequel il transite et dans lequel il s’arrête.
