Douze ans et arrêté dix fois déjà par Israël en trois ans ! par Jillian Kestler-D’Amours Muslim Odeh (Amer Aruri / B’Tselem) D’une voix bien décidée, Muslim Odeh a raconté comment la police antiémeute israélienne l’avait sorti de son lit au début de cette semaine, lui avait bandé les yeux, l’avait soumis à des heures […]
Une pétition internationale a été lancée par UFree Network pour la libération d’un résident ukrainien d’origine palestinienne, Dirar Abou Sisi, qui a été enlevé en Ukraine le 18 février 2011, par les services secrets israéliens.
Israel avait signé, le 21 septembre dernier, un accord concernant la libération de Samer al-Barq que l’Egypte acceptait d’accueillir. Ce prisonnier politique palestinien étant toujours à la clinique de la prison de Ramleh, il a repris sa grève de la faim, en y ajoutant une grève de la soif. L’association Addameer est également très inquiète de l’état de santé de Ayman Sharawna, qui en est aujourd’hui à son 109ème jour de grève de la faim !
Ce dimanche à Paris, des milliers de personnes ont pu se renseigner sur la situation des prisonniers palestiniens, signer la pétition pour leur libération, acheter la brochure « On peut pas s’en foot », et exprimer leur indignation face à l’annonce de la tenue, en Israël, de la coupe européenne de foot des moins de 21 ans, en juin 2013.
Danger ! Samer al-Barq entame son 115ème jour de grève de la faim, Hassan Safadi, son 85ème jour et Ayman Sharawna, son 75ème jour . Leur état de santé est critique, annonce l’association Addameer.
Emprisonné depuis 4 mois par l’AP de Ramallah, Zakaria Zubeidi, du théâtre de la Liberté de Jénine, débute une grève complète de la faim
Parmi les prisonniers politiques palestiniens incarcérés en Israël et en grève de la faim, quatre détenus sont entre la vie et la mort. Le père de Samer al-Barq appréhende chaque coup de fil susceptible de lui annoncer la mort de son fils.
Levons-nous pour sauver Hassan Safadi, Samer Al-Barq, Ayman Sharawna et Issa Al-Eisawy !
Et pour cause ! Israël la pratique de manière institutionnalisée sur les adultes et les enfants palestiniens, et refuse les inspections sur les conditions d’interrogatoire et de détention. Ce « petit pays démocratique et civilisé » qui veut imposer ses méthodes de terreur dans le monde entier, n’a rien eu à craindre jusqu’à présent de tous les Etats et institutions qui sont censés faire respecter les conventions internationales sur la torture.
Hassan Safadi, en « détention administrative » et en grève de la faim depuis 58 jours vient d’être blessé par les gardiens de la prison israélienne de Ramle : il a perdu connaissance après qu’ont lui eût violemment cogné la tête contre la porte métallique de sa cellule, à deux reprises, avant de le traîner dans les couloirs de la prison pour montrer aux autres détenus le sort réservé aux grévistes de la faim.
La visite d’un docteur israélien et d’un avocat aux Palestiniens grévistes de la faim révèle les brutalités qui leur sont infligées, en représailles, par le service pénitentiaire israélien.
