Les bombardements continuent partout dans la bande de Gaza. Le ministère palestinien de la Santé à Gaza a annoncé 59 victimesau cours des dernières 24 heures, portant le nombre de morts palestiniens dans l’enclave ravagée par la guerre depuis début octobre 2023 à 32 975.

Les femmes et les enfants en première ligne

14 500 enfants ont été tués par Israël. En moins de six mois, son armée a tué plus d’enfants à Gaza que dans tous les conflits réunis dans le monde entre 2019 et 2022.

Et cela sans parler des milliers d’enfants blessés, amputés, handicapés à vie

RAFAH SOUS LES BOMBES ET LES MENACES D’INVASION TERRESTRE
Des citoyens de Rafah rapportent que les services de renseignement israéliens ont appelé des familles de Rafah en prétendant qu’elles étaient « la Croix-Rouge égyptienne » et en leur demandant quel était le nombre d’individus, en particulier le nombre d’enfants dans chaque famille. ….
JOURNALISTES
Les autorités d’occupation israéliennes détiennent toujours des dizaines de journalistes palestiniens qui ont été kidnappés, en plus du meurtre de 140 journalistes depuis le début de la guerre israélienne contre Gaza. Les deux derniers, Muhammad Al-Sayed Abu Sakheil, animateur et rédacteur à la radio Voice of Jerusalem, et Tareq Al-Sayed Abu Sakheil, rédacteur numérique à la même station de radio, ont été tués lors de l’attaque contre l’hôpital al-Shifa.
L’éducation particulièrement visée, en plus des hôpitaux
Depuis le début du génocide israélien, les forces d’occupation ont démoli toutes les universités de la bande de Gaza, et rasé des centaines d’écoles, y compris des écoles de l’ONU, dont certaines ont été transformées en bases militaires.

Le peu d’aide dispensé par des ONG disparait
L’organisation Anera, qui dirige la deuxième plus grande opération humanitaire à Gaza après l’UNRWA, a annoncé qu’elle suspendait son travail à Gaza suite à l’attaque israélienne contre le convoi World Central Kitchen (WCK). « Le meurtre des humanitaires de WCK, survenu moins d’un mois après le meurtre encore inexpliqué de Mousa Shawwa, membre du personnel d’Anera, ainsi que la perte de nombreux autres travailleurs humanitaires et de leurs familles, ont conduit notre équipe à conclure qu’il n’est plus possible d’acheminer l’aide en toute sécurité. », a déclaré l’organisation humanitaire dans un communiqué.

PARACHUTAGES CRIMINELS
Depuis le début des missions de largage d’aide à Gaza, plus de 30 Palestiniens ont tragiquement perdu la vie à cause de ces opérations humiliantes. Certains se sont noyés en tentant de récupérer de l’aide larguée en mer, tandis que d’autres ont été écrasés par des parachutes défectueux.

CAPJPO-Europalestine