JERUSALEM : UBU AU QUOTIDIEN
Vous trouverez ci-dessous le message de Raed, un ami Palestinien, qui nous conte la suite de ses tribulations dans son propre pays sous occupation israélienne.
Vous trouverez ci-dessous le message de Raed, un ami Palestinien, qui nous conte la suite de ses tribulations dans son propre pays sous occupation israélienne.
A lire, ci-dessous, le témoignage d’une rescapée (à titre temporaire ?) de la Nouvelle-Orléans. Traduit en français par la journaliste de Libération Annette Lévy-Villard, ce témoignage vaut réquisitoire, sans circonstances atténuantes, contre le régime impitoyable imposé aux pauvres par la première puissance mondiale, lesquels pauvres sont majoritairement, en Louisiane en tout cas, des descendants d’esclaves Noirs. Un passage de ce témoignage mérite une attention particulière : c’est celui où la narratrice raconte comment des jeunes hommes en armes, partout ailleurs décrits comme des « pillards » ne valant même pas la corde qui les pendra, ont en réalité été à l’avant-garde des efforts pour tenter de sauver de la mort des milliers de femmes, d’enfants et d’hommes mourant littéralement de faim et de soif.
« Check-point »_english Ce que vous voyez en ce moment n’est malheureusement pas une fiction. Ces jeunes comédiens de toutes origines (française, arabe, juive…) sont en train d’interpréter une situation vécue chaque jour par des centaines de milliers de Palestiniens, en l’absence de témoins.
Chaque jour, plusieurs centaines de barrages de ce genre, obligent de longues files de Palestiniens à attendre des heures sous un soleil d’enfer ou dans la boue, qu’ils soient jeunes, vieux, malades ou sur le point d’accoucher.
La brutalité des soldats et leur volonté d’humilier sont le propre de toutes les armées d’occupation face à des hommes et des femmes qui refusent de se résigner et de renoncer à la liberté.
Lors des premières années de la révolution palestinienne, il n’y avait pas de mouvement national en prison organisé tel qu’on le connaît aujourd’hui.
Intervention de Stanislas Tomkiewicz, célèbre pédiatre, rescapé du ghetto de Varsovie puis du camp de concentration
d’Auschwitz à la tribune du meeting CAPJPO du 13 février 2002 à Paris, où il déclara « On n’a pas le droit en 2002
de justifier les saloperies contre le peuple palestinien, en s’abritant de manière frauduleuse derrière la Shoah« .
Participation à la campagne avec notamment : – 30.000 cartes postales sur les tortures, envoyées à jacques Chirac – Une grande expo itinérante sur la situation des prisonniers palestiniens (8 panneaux en bois documentés et illustrés recto-verso s’emboitant à l’aide de tiges métalliques). Vous pouvez consulter une partie des textes en cliquant ici. Vous pouvez […]
Quelque 4.000 membres de la Garde Nationale de la Louisiane sont actuellement en Irak, tout comme 1.800 hommes de la Garde Nationale du Mississipi. Autant qui ne sont pas sur le front des gigantesques inondations provoquées par Katrina. L' »axe du bien » fait passer la guerre avant le sauvetage de ses concitoyens.
Là où une grande partie des médias occidentaux ont présenté le retrait de Gaza par les colons israéliens comme le début d’un processus de paix prometteur, les Israéliens les plus lucides l’analysent comme une escroquerie, une fermeture plutôt qu’une ouverture et l’amorce de jours à venir particulièrement sombres. Nous citons ci-dessous des
personnalités aussi différentes qu’Ilan Pappe, Avraham Burg et Azmi Bishara, mais c’est également le point de vue
exprimé dans la presse par d’autres observateurs israéliens, notamment notre amie Tanya Reinhart.