Le copain de Kouchner, nouveau ministre israélien des Affaires étrangères, Avigdor Lieberman, a prononcé mercredi un premier discours, annonçant clairement que la nouvelle administration ne se sentait pas engagée par le processus d’Annapolis, ni conséquemment, par la solution des « deux Etats pour deux peuples ».
Qu’à cela ne tienne, nos dirigeants et nos médias, continueront à répéter qu’ « il n’y a pas d’interlocuteur pour la paix »… en Palestine.
Les mêmes qui ont hurlé à la mort lors de l’élection de Heider en Autriche ou du risque d’élection de Le Pen en avril 2002, n’ont pas dit un mot plus haut que l’autre lors de l’intronisation du fasciste Lieberman, celui qui prône sans se cacher la déportation de tous les Palestiniens.
Non pas que les 29 autres voleurs qui forment le gouvernement israélien valent beaucoup mieux. Mais cela fait tout de même désordre, pour nos dirigeants qui se targuent d’exporter la démocratie et la civilisation dans le monde entier. Non ?
CAPJPO-EuroPalestine
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