Si, si, il a demandé des sanctions contre…. l’iran, et des efforts au Palestiniens.
Quel courage ! Quel homme d’Etat !
Quant à la colonisation, il est « contre » a déclaré le président de gauche… « car elle complique les négociations de paix » (sic).
Ça aussi fallait le trouver !
Hollande, qui a fait un « saut » à Ramallah, avec la permission d’israël pour entrer en Cisjordanie (vite fait, entre un Tel Aviv et un Jérusalem), a tout de même eu la présence d’esprit d’annuler sa visite à l’Université de Birzeit (près de Ramallah) pour éviter les oeufs pourris qui l’y attendaient.
Tout le monde n’a pas l’habitude de l’entartage, ni la capacité d’aller se nettoyer au milieu d’un discours, comme a dû le faire Alain Finkielkraut le mois dernier, alors que les élèves de l’Ecole Polytechnique de Paris ont tenu à fêter ses adieux à l’institution, le 10 octobre dernier.
Il semblerait que la tarte à la crème, qui lui a valu de s’absenter un moment de la salle, saluait tout particulièrement son dernier livre, « L’identité malheureuse », qui accuse l’immigration de mettre en péril l’identité nationale.
Avec ou sans tarte à la crème, Hollande, restera dans l’histoire pour ce qu’il est : un collabo de l’occupant, qui n’a pas mis la moindre condition aux partenariats qu’il est allé rechercher, toute honte bue, auprès d’un gouvernement d’extrême-droite et d’un Etat terroriste.
CAPJPO-EuroPalestine
