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Le scandale Julian Assange : les méthodes américaines abjectes pour déterminer l’ADN de sa partenaire

Les agences américaines ont tenté de prélever de l’ADN de sa partenaire sur les couches de leurs enfants, utilisées et jetées lors d’une visite familiale, quand Julien Assange était dans l’ambassade de l’Équateur !

Julian Assange

Le fondateur de Wikileaks en prison en Angleterre depuis près d’un an après avoir été arrêté à l’ambassade de l’Équateur

Des représentants de julien Assange ont soumis des preuves de ces faits au tribunal de première instance de Westminster, mais la juge de district Vanessa Baraitser a rejeté la demande d’anonymat de la partenaire de M. Assange, qui souhaite vivre avec ses jeunes enfants, à l’abri de la publicité.

Selon l’agence de presse AP, la juge a estimé que le droit de la femme à une vie de famille privée était contrebalancé par « la nécessité d’une justice ouverte ». Elle a simplement retardé la publication de l’identité de la femme jusqu’à 16 heures le 14 avril, dans l’attente d’un éventuel contrôle judiciaire devant la Haute Cour.

Julien Assange s’était auparavant vu refuser une mise en liberté sous caution en raison des inquiétudes suscitées par la propagation du coronavirus dans les prisons britanniques. Il est en détention provisoire au HMP Belmarsh, dans le sud-est de Londres, avant une audience d’extradition le 18 mai.

Lors de l’audience virtuelle, le juge a également rejeté une tentative de retarder l’audience en raison de la crise des coronavirus.
L’avocat de M. Assange, Edward Fitzgerald QC, a déclaré qu’il y avait des difficultés « insurmontables » à préparer son dossier en raison de la pandémie et a demandé un ajournement jusqu’en septembre.

L’administration américaine est prête à employer tous les moyens pour dissuader les lanceurs d’alertes. Bien trop de choses inavouables à cacher !
Et difficile de compter sur « l’indépendance de la justice » britannique dans cette situation…

Source : Associated Press (AP)

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