Le lobby israélien vient de s’agiter et de donner des ordres aux maires de Lyon comme à JCDecaux après avoir vu dans la ville des affiches qui montrent la torture des enfants palestiniens. L’un des responsables du CRIF (représentant les intérêts israéliens en France), Haim Musicant, publie sur twitter l’affiche accompagnée de ce commentaire :
Ce qu’il lui a valu de nombreux commentaires sur twitter remettant les pendules à l’heure, comme ceux-ci :
De son côté le maire du 6ème arrondissement de Lyon s’est fendu d’un couplet sans la moindre compassion pour les milliers d’enfants palestiniens régulièrement torturés par Israël lors de leur arrestation, mais ose parler d’antisémitisme, comme on peut lire sur LyonMag.com :
« Le maire du 6e arrondissement, Pascal Blache, a réagi sur les réseaux sociaux. « Des affichages sauvages de propagande haineuse, antisémite, sur notre territoire sont intolérables. Je condamne fermement ce mode d’action. Il s’agit bien là d’un piratage. Ni la Ville ni JC Decaux ne sont à l’origine de ces publications« , a déclaré l’élu. »
Article de Lyon.Mag également largement dénoncé sur les réseaux sociaux.
Comme l’exprime un internaute : « Si évoquer la torture des enfants palestiniens est antisémite, alors il faut poursuivre Amnesty International, Human Rights Watch, B’tselem, Haaretz, l’ACAT, l’UNICEF etc. qui n’ont pas seulement évoqué cette torture mais l’ont décrite et démontrée. Et poursuivre aussi la Cour Pénale Internationale. Bon courage aux sionistes ! »
D’autres internautes signalent que les mêmes affiches ont informé les passants de plusieurs autres villes, dont la capitale, de cette situation que personne ne peut nier, mais qui est soigneusement occultée, car elle ternit quelque peu l’image de cette « grande démocratie israélienne ».
CAPJPO-EuroPalestine
