Non seulement les femmes israéliennes sont victimes de discriminations de la part des religieux, toujours plus nombreux dans l’Etat colonial d’apartheid, mais elles sont aussi massivement victimes de harcèlement et d’agressions sexuels, selon les médias israéliens.
On sait que la première prière du jour chez les religieux juifs commence par : « Merci mon dieu de ne pas m’avoir fait femme », ce qui en dit long sur la considération qu’ils portent au sexe féminin.
On sait aussi que les religieux israéliens exigent, maintenant qu’ils sont au pouvoir, avec des postes ministériels, une complète ségrégation des femmes et des hommes dans les espaces publics.
On apprend maintenant que les mêmes qui s’érigent en défenseurs des femmes iraniennes sont nombreux à maltraiter les femmes.
« 22 % des femmes soldats qui servent dans la police, 27 % de celles qui servent dans les gardes-frontières et 38 % de celles qui servent dans l’administration pénitentiaire ont admis qu’elles étaient victimes d’agressions et de harcèlement sexuel pendant leur service militaire, et 70 % de celles qui ont osé dénoncer leurs agresseurs ont vu leurs plaintes non traitées », rapporte cette semaine l' »Occupation State Observer » .
Et ce n’est pas Netanyahou, qui a déjà assez à faire avec ses affaires de corruption, qui compte sévir sur ce sujet.
CAPJPO-EurPalestine
