Les enfants palestiniens restent une cible privilégiée, avec les jeunes en général, pour le régime colonial israélien : un signe qui ne trompe pas sur la nature déliquescente d’un tel gouvernement, et de l’ensemble de la société israélienne qui, à l’exception de quelques opposants, laisse faire.
Encore un enfant, Ali Abu Owais, d’Issawiya, au V_Nord-Est de Jérusalem, arrêté ce mercredi. Mais regardez comment il réagit !
A Jérusalem, c’est en attaquant un autre enfant que les forces d’occupation ont provoqué, ce jeudi, une crise cardiaque chez son père :
C’est aussi à des enfants que 40 colons s’en sont pris jeudi, à coups de pierres contre leur école pour garçons du village d’Urif, au sud de Naplouse, brisant les panneaux solaires qui fournissent l’électricité à l’école, a rapporté l’agence Wafa.
Ce même jeudi la soldatesque coloniale a arrêté un étudiant palestinien à l’entrée de son université Kadoorie, à Hébron.
Les services de « sécurité » de l’Autorité Palestinienne (AP) ne sont pas en reste. Ils ont arrêté plus de 30 étudiants en Cisjordanie en deux jours, et n’ont pas hésité à tirer des bombes assourdissantes et lacrymogènes lors de l’arrestation de résistants à Hébron.
Ces collabos sont rentés dans les maisons de la région de Wadi Abu Iktila à Hébron, procédant aux arrestations de jeunes palestiniens, souvent à la demande d’Israël, indiquent les observateurs palestiniens.
Personne n’oublie les prisonniers, malgré les efforts des uns et des autres. En témoigne cette image d’Ahed Tamimi au Qatar pendant la coupe du monde de foot. Elle montre les photos de deux prisonniers palestiniens atteints de cancers, Naser Abu Hmeid et Walid Daqqa, que l’occupant laisse mourir sans leur permettre d’accéder aux soins nécessaires.
CAPJPO-EuroPalestine