Header Boycott Israël

Poursuite des échanges d’otages. Jusqu’à quand ?

La nuit dernière, le processus de remise des prisonniers israéliens s’est déroulé au cœur de la ville de Gaza, contrairement à ce qui s’est passé ces deux derniers jours, en présence des masses. Des membres des Brigades Al-Qassam sont soudainement apparus et ont effectué une démonstration de force lors de la passation de pouvoir dans les rues de Gaza où l ‘armée israélienne prétendait qu’il était impossible de mettre les pieds.

Et bien entendu Israel a fait supprimer la vidéo qui circulait, montrant des otages prendre congé amicalement de leurs geoliers gazaouis. Voici quand même quelques images qui ne trompent pas !

Pendant ce temps 39 mineurs palestiniens ont retrouvé leurs familles.

Mais les forces israéliennes ont lancé des gaz lacrymogènes et utilisé des balles réelles contre des familles d’enfants palestiniens, qui attendaient leurs enfants libérés près de la prison d’Ofar à Ramallah en #Cisjordanie. Les forces d’occupation israéliennes ont pris pour cible des journalistes près de la prison d’Ofer alors qu’ils attendaient la libération de jeunes prisonniers ce soir en Cisjordanie. Véhicules abîmés Des milliers de colons israéliens manifestent à Tel-Aviv pour exiger de leur gouvernement la libération de tous les prisonniers israéliens à Gaza.

La population de Ramallah en Cisjordanie accueille néanmoins les 39 enfants libérés dimanche dans le cadre de l’accord d’échange t fait la fête malgré les interdictions israéliennes

Il reste 177 prisonniers détenus par le Hamas après les 40 qui ont été libérés au cours des trois jours.

Les forces israéliennes ont lancé des gaz lacrymogènes et utilisé des balles réelles contre des familles d’enfants palestiniens, qui attendaient leurs enfants libérés près de la prison d’Ofar à Ramallah en Cisjordanie.

L’occupant a également pris pour cibles des journalistes près de la prison d’Ofer alors qu’ils attendaient la libération de jeunes prisonniers dimanche soir en Cisjordanie.

Il a pris un malin plaisir à abîmer les véhicules des familles qui attendaient leurs enfants.

Pas brillant !

Parmi les femmes libérées depuis le début de cette trêve, on se réjouit notamment qu’Israa Ijaabis puisse enfin soigner ses blessures

Poursuite des échanges d'otages. Jusqu'à quand ?

Le Dr Bassam Abdullah Al-Zoubi, jordanien, est chargé de soigner les prisonniers. « Concernant Israa et les opérations dont elle a besoin, nous, comme l’hôpital général Al-Hanan situé à Amman, sommes tout à fait prêts à la soigner gratuitement. Nous lui fournissons un logement dans ma maison privée, un appartement séparé, jusqu’à son rétablissement.  Je voudrais également vous informer que j’ai une liste de médecins de toutes spécialités prêts à se porter volontaires pour aller n’importe où dans la bande de Gaza. »

Portraits de femmes libérées

En 2015, Nourhan (16 ans) se rendait avec son cousin Hadeel pour prier à Jérusalem lorsque l’occupation #israélienne a ouvert le feu sur eux. Hadeel est immédiatement devenue une martyre, tandis que Nourhan a été blessée par trois balles dans l’abdomen. Depuis, elle est prisonnière dans les prisons israéliennes. 


La prisonnière Fadwa Hamada, mariée et mère de cinq enfants, a été arrêtée par les forces d’occupation israéliennes sur la base d’accusations d’avoir mené une opération au couteau en 2017. Un verdict injuste l’a condamnée à 10 ans de prison et à une amende. une somme considérable de 30 000 Depuis, elle est prisonnière dans les prisons israéliennes. Après 6 ans de détention, la prisonnière de 35 ans est attendue pas sa famille.

Shorouq Salah Ibrahim Dwayyat fait partie des 91 prisonnières qui devraient être libérées. Habitante de Jérusalem, a été confrontée à un incident qui a bouleversé sa vie en 2015. Alors qu’elle était en route pour prier à la mosquée Al-Aqsa, elle s’est défendue contre un colon qui tentait de retirer son hijab. Un soldat israélien est venu et lui a tiré dessus à bout portant, la blessant grièvement à la poitrine, à l’épaule et au cou. Les soldats l’ont laissée saigner pendant 30 minutes avant de la placer en garde à vue. Bien qu’elle n’était pas armée et qu’elle n’avait que 18 ans à l’époque, elle a été accusée d’avoir tenté de poignarder un colon. Après son arrestation, Shorouq a enduré un traitement médical dur et inadéquat, passant quatre jours à saigner avant de subir une intervention chirurgicale. Elle a été condamnée à 16 ans de prison pour tentative de meurtre, et le colon n’a fait l’objet d’aucune accusation.​

CAPJPO-EuroPalestine