CRIMES DE GUERRE : DEPOTS DE NOUVELLES PLAINTES EN GRANDE-BRETAGNE PAR DES HABITANTS PALESTINIENS DE JERUSALEM
Après les militaires, c’est désormais au tour de dirigeants civils israéliens d’être exposés à des plaintes pour crimes de guerre.
Après les militaires, c’est désormais au tour de dirigeants civils israéliens d’être exposés à des plaintes pour crimes de guerre.
Plus de 50 personnes, dont le Dr Iyad Abuhadrous, secrétaire général de la GUPS, sont bloquées depuis 4 jours à Rafah, principal point de passage entre l’Egypte et la Bande de Gaza. Ces hommes, femmes et enfants palestiniens sont retenus dans une pièce insalubre, sans lits et sans nourriture, dans l’attente de pouvoir rejoindre leurs foyers dans la Bande de Gaza. Nous publions ci-dessous un communiqué de la GUPS (Union Générale des Etudiants Palestiniens).
Le secrétaire général de l’Initiative Nationale Palestinienne s’inscrit en faux par rapport à la propagande israélienne, relayée par « la plupart des organes de presse étrangers voire même certains autres médias arabes », concernant le soi-disant processus de paix initié par Israël. Il a par ailleurs fustigé, lors d’une conférence de presse à Ramallah, le climat interne lié notamment à une mauvaise gestion des problèmes sociaux par l’Autorité Palestinienne.
A lire, ci-dessous, l’édifiant reportage de l’envoyé spécial du Figaro dans la bande de Gaza, Patrick Saint-Paul
La Lettre de l’Expansion, supplément du magazine économique du même nom, vient de publier l’information suivante :
« Les douanes israéliennes bloquent depuis huit mois du matériel d’Alcatel destiné à Paltel, la compagnie de télécommunications palestiniennes. Les interventions de Matignon et du Quai d’Orsay n’ont rien donné ».
Surmontant le chantage permanent à l’Union Sacrée, qui voudrait qu’on « lave son linge sale en famille », les militants du mouvement anti-guerre israélien Yush Gvul (« Basta ! ») ont décidé de porter sur la scène internationale la lutte pour traduire en justice les responsables de l’armée israélienne auteurs de crimes de guerre.
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De retour de Palestine, Sara, raconte comment l’armée israélienne a encouragé l’arrivée de nombreux colons à la colonie de Sanour, près de Jénine, juste avant qu’elle soit évacuée. (photos prises par Sara).
Ci-joint un compte-rendu de la situation au centre culturel d’Al-Rowwad et plus généralement dans le camp de réfugiés d’Aïda, près de Béthléem, envoyé par AbdelFattah Abu Srour, directeur du centre.
Hébron, sans doute la ville la plus dure de Palestine où quelques centaines de colons, épaulés par des soldats, pourrissent la vie de dizaines de milliers d’habitants palestiniens, les agressant en permanence, leur tirant dessus à n’importe quel moment dans la vieille ville devenue impraticable, leur jetant des détritus, au point que peu de gens s’aventurent dans les rues et doivent rester cloîtrés chez eux, que les commerces ont dû baisser leurs rideaux les uns après les autres et que pour aller à l’école à deux pas de chez eux, les enfants, doivent faire de terribles détours pour éviter les attaques de colons ou de soldats.
Sara, militante de CAPJPO-EuroPalestine, qui en revient pour avoir passé l’été dans les territoires palestiniens occupés, nous livre quelques scènes et photos qui continuent à la hanter après son retour.