La sale « guerre » des mots
« Les mots ne tuent pas, mais les mots peuvent faciliter nettement le travail du tueur. Depuis l’aube de l’occupation israélienne –et peut-être en fait depuis la création de l’Etat-– la langue a été recrutée comme réserviste en service actif et n’a jamais retiré son uniforme », écrivait et démontrait le journaliste israélien Gideon Levy, le 16 janvier dernier.


