2005 : Le « Désengagement de Gaza »
On peut dire que Sharon a fait durer le plaisir ! En bon metteur en scène, il a su entretenir pendant plus d’un an le suspense « désengagera/désengagera pas » à renforts de projecteurs sur les colons déchaînés ou en pleurs, et sur son « courage » de « grand homme de paix ».