Le Président de la république et le ministre français des affaires étrangères sont en train de recevoir des milliers de cartes postales, leur réclamant d’accorder leurs actes à leurs déclarations, concernant la liberté de circulation « En et vers la Cisjordanie ».
Peines dérisoires avec sursis ou simples « peines de principes » requises par le procureur à l’encontre des policiers responsables de la mort du jeune Abdelhakim AJIMI. Son comité de soutien quitte le tribunal de Grasse, en signe de protestation.
Nous nous adressons au directeur de France Info, radio qui diffuse actuellement des publicités pour les médicaments israéliens TEVA, lors de ses bulletins méteo.
« Combien de temps un policier peut-il étrangler quelqu’un » ? Oui, cette question a été posée lors de l’audience lundi à Grasse. Et voici la réponse, tout aussi incroyable : « Le directeur général de la police nationale limite à « 3 à 5 secondes » l’usage d’une technique d’étranglement (régulation phonique) par les agents de la Police aux frontières lors de reconduites d’étrangers, la « répétition de ces actions » ne pouvant « être réalisée plus de cinq minutes ».
Deux participants belges de la mission « Bienvenue en Palestine », Hajar Moumni et Mohamed Najar, qui devaient se rendre du 8 au 16 juillet 2011 en Cisjordanie, ont déposé plainte le 9 janvier 2012 contre Israël auprès du parquet fédéral belge pour crimes de guerre, a annoncé mardi leur avocat Me Sébastien Courtoy.
Comme il faut le savoir, peu de Palestiniens sont autorisés à voyager, à l’étranger ou à l’intérieur de leur pays. Ceux auxquels Israël accorde une autorisation ponctuelle, sont contraints de passer par la Jordanie, même s’ils ne vont pas du tout dans cette direction. Un rapport d’Euro-Mid chiffre à 4000 le nombre de Palestiniens interdits de voyager par cet unique point de passage en 2011, et décrit ce qu’Israël fait subir aux autres.. Et c’est sans compter ceux qui ne font même plus la demande à force d’avoir essuyé un refus !
Le peuple est là et il est loin d’avoir dit son dernier mot tant en Egypte où les manifestations se poursuivent, qu’en Tunisie où l’émir du Qatar vient de se faire « accueillir » aux cris de : « Ni l’Amérique ni Qatar, le peuple tunisien est libre ! »
Interpellé par une auditrice de Toulouse ce lundi matin sur la lâcheté de la France vis a vis des attaques de ses ressortissants et de ses diplomates par Israël, le ministre français de la Défense n’a pas été capable de répondre.
Interview du directeur du Centre Culturel Al-Rowwad (camp de réfugiés d’Aïda à Bethléem), qui soutient la mission « Bienvenue en Palestine ».
