Après qu’Israel a prétendu que son fils avait été tué par le Hamas, la mère du défunt soldat israélien Ron Sherman a déclaré que son fils avait été tué par les gaz mortels de l’armée israélienne, les dirigeants de l’armée ayant choisi de le sacrifier en tentant d’éliminer les militants.
Les médias israéliens rapportent par ailleurs que le ministère israélien de la Justice a ordonné au ministère de la Santé de ne pas coopérer à une enquête de l’ONU sur des allégations de viols qui auraient été commis par le Hamas contre des femmes israéliennes le 7 octobre, qualifiant la commission d’enquête d’« antisémite ».
Le Washington Post cite un haut responsable américain, s’exprimant sous couvert d’anonymat, disant que « le gouvernement israélien n’a porté à l’attention du gouvernement américain… aucune preuve spécifique du vol par le Hamas ou du détournement de l’aide fournie via l’ONU et ses agences. »
Et les images des forces israéliennes dispersant par la force les manifestants israéliens appelant à un cessez-le-feu à Gaza, ne sont pas géniales pour le gouvernement.
On n’est pas sûrs non plus que le bombardement israélien contre l’Église évangélique nationale de la ville d’Alma al-Shaab (Sud-Liban), causant d’importants dégâts à la maison du pasteur de l’église, le pasteur Rabie Talib, ait été très productif pour l’image de Netanyahou.
CAPJPO-EuroPalestine
