Israël doit mettre fin au blocus de Gaza, aux expulsions, et aux violences contre les enfants, a déclaré le secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-Moon dans le rapport annuel rendu public cette semaine.
Un an après l’attaque israélienne de l’hiver 2008/2009, les citoyens français sont invités à manifester leur solidarité avec la population de la bande de Gaza en apportant sur la place publique un échantillon ou un emballage vide pour réaliser une pyramide des produits interdits d’entrée par l’armée israélienne.
La presse fait régulièrement état des brimades subies par la population palestinienne aux centaines de points de contrôles et barrages routiers qui parsèment la Cisjordanie occupée. Combien de fois avons-nous lu ces récits de femmes accouchant sur le bas côté de la route, de malades empêchés par les soldats israéliens d’être rapidement transférés vers une clinique ou un hôpital ? Deux réalisatrices britanniques, en transposant cette réalité dans un contexte familier, donnent à ressentir cette violence au quotidien.
Comme on peut le voir ci-dessous, les organisations politiques, sociales et religieuses ont manifesté ensemble et massivement, lundi dans la capitale argentine, pour protester contre la venue du « président de l’Etat terroriste d’Israël ».
C’est pas possible : tout ce tintamarre, toute cette violence, tout ce cinéma et cette fierté déplacée, pour qui, pour quoi ?
Suleiman Baraka, dont le fils de 10 ans a été tué par les bombardements israéliens l’hiver dernier, alors qu’il se trouvait en formation aux Etats-unis, attend avec impatience l’arrivée de ses collègues astrophysiciens français, qui vont participer à la Marche de Gaza, et préparent un beau projet commun, qu’ils nous feront découvrir sur place, dans la bande de Gaza, à la fin décembre. Ci-dessous un entretien avec Sueliman, qui donne aujourd’hui même une conférence d’astronomie au centre Culturel Français de Gaza. (Voir photos ci-dessous).
Le gouvernement irakien, à la solde des Etats-Unis, s’apprête à exécuter 126 femmes, condamnées à mort pour avoir occupé des postes de responsabilité sous le régime de Saddam Hussein. C’est ce qui s’appelle l’exportation de la démocratie américaine. Protestons !
Le Centre Palestinien pour les Droits de l’Homme (PCHR), qui n’est pas affilié au Hamas, mais indépendant, vient de publier un communiqué dans lequel il dénonce les arrestations massives effectuées par le l’Autorité Palestiniennes à l’encontre des sympathisants du Hamas en Cisjordanie.
Le Val d’oise brandit le flambeau de l’unité pour la
libération du peuple palestinien.
Le rabbin en chef de l’armée d’Israël, le général de brigade Avishai Rontzki, prévient les futurs soldats que s’ils manifestent la moindre pitié à l’égard de l’ennemi, ils seront tout simplement maudits.
