« une journée à l’Université d’Abou Dis », par Julien SALINGUE
Chronique d’une journée ordinaire à l’Université d’Abou Dis, par Julien Salingue, qui effectue actuellement un séjour de trois mois en Cisjordanie. (Voir son blog ci-dessous)
Chronique d’une journée ordinaire à l’Université d’Abou Dis, par Julien Salingue, qui effectue actuellement un séjour de trois mois en Cisjordanie. (Voir son blog ci-dessous)
On observe indubitablement quelques frémissements intéressants aux Etats-Unis concernant la remise en cause du soutien inconditionnel apporté par l’administration américaine à la politique israélienne. Hillary Clinton et Barack Obama ont beau se faire de la surenchère sioniste, l’AIPAC, principal lobby pro-israélien, semble dans une position moins confortable. Ci-dessous un article instructif du site Rue89.
Pour l’année 1955, sur un quota fixé à 25 000 migrants pour toute l’Afrique du Nord, le Maroc en obtient 24 994. Il s’agit de peupler les régions frontalières et le Néguev – et pour lesquels les « pionniers » ne se bousculent pas au portillon -, grâce à ce que Ben Gourion appelle des « poussières humaines, sans langue ni éducation, racines, traditions, ou rêve national » qu’il espère « remodeler ».
Article du Monde ci-dessous.
Le gouvernement compte-t-il s’excuser d’avoir limogé le sous-préfet Bruno Guigue ?
En juillet 1956, le gouvernement égyptien décide de mettre fin à une humiliation qui dure depuis près d’un siècle, et annonce la nationalisation du canal de Suez.
Palestine, Comores, Afrique, Afghanistan : nous relayons ci-dessous plusieurs manifestations annoncées ces prochaines semaines.
Un article de Julien Salingue qui fait le point sur la situation économique, sociale et politique en Cisjordanie.
Dans le plus grand secret, au début de 1957, des ingénieurs français s’installent dans la ville de Dimona (désert du Neguev), pour aider leurs collègues israéliens à la construction d’un site industriel qu’Israël présentera pendant plusieurs années comme étant une usine textile.
En 1958, quand la monarchie jordanienne est menacée par un soulèvement populaire, les dirigeants israéliens montrent de quel côté ils se trouvent.
Gush Shalom souligne dans Haaretz que le Hamas fait des offres de paix généreuses et que le gouvernement israélien fait la sourde oreille.