Pourquoi nous ne voulons pas des footballers israéliens
Le football comme les autres sports palestiniens sont boycottés par Israël. Les footballers palestiniens sont arrêtés, emprisonnés, tués.
Peut-on tolérer cela ?
Le football comme les autres sports palestiniens sont boycottés par Israël. Les footballers palestiniens sont arrêtés, emprisonnés, tués.
Peut-on tolérer cela ?
Le fonds de pension public norvégien, l’un des plus gros fonds souverains au monde, a exclu, pour des motifs d’éthique, un groupe israélien de son « univers d’investissement » et réhabilité le Français Thales et le sud-africain DRD Gold, a annoncé jeudi le gouvernement norvégien.
Dans le cadre d’un match de la coupe d’Europe des clubs champions, l’équipe de football des Girondins de Bordeaux doit recevoir à la fin du mois le club israélien Maccabi de Haïfa.
Grâce à la détermination d’une patiente et d’un journaliste suisses, la direction du Centre hospitalier universitaire vaudois de Lausanne, a renoncé à se fournir en eau minérale auprès de la firme israélienne Eden Springs, rapporte le site du journal La Liberté. Le CHU de Lausanne est l’un des principaux établissements hospitaliers européens, avec 7.800 employés, et un budget annuel d’un milliard de francs suisses (700 milllions d’euros).
Malgré les menaces de répression, nos amis belges ont mené à bien ce dimanche 23 août 2009 une action de boycott des dattes en provenance des territoires palestiniens occupés, sur le marché des Abattoirs à Anderlecht. (photos et vidéos ci-dessous)
Le Philistin nous communique qu’il vient de réussir à importer des dattes palestiniennes, et que l’on peut les commander aux conditions suivantes.
Des dizaines de femmes en bikini, de l’association anti-guerre et anti-occupation Code Pink* ont manifesté, mercredi dernier, devant les magasins de cosmétiques de Washington vendant des produits de la marque AHAVA, étiquetés « Israël » et provenant de la colonie de Mitzpe Shalem en Cisjordanie.
La plupart des dattes israéliennes, qui envahissent actuellement les marchés à la veille du ramadan, sont produites dans des colonies de la vallée du Jourdain, en Cisjordanie, sur les terres des Palestiniens, avec leur eau et leur sueur. Ceux qui en consomment encouragent la colonisation israélienne.
Un article fort utile de Me Gilles Devers sur le jugement plus que contestable, rendu la semaine dernière par la Cour Européenne des Droits de l’Homme, à l’encontre de l’ancien maire de Seclin, qui avait appelé au boycott des produits israéliens en 2002. La question est de savoir qui « discrimine » dans cette affaire ? Serait-il licite de discriminer tout un peuple, de discriminer tous les citoyens d’un pays en fonction de leur religion, mais illicite de « discriminer » un Etat qui se conduit de la sorte ?