Ci-dessous quelques exemples de courriers envoyés par des lecteurs au Maire de Bourg-la Reine, à propos de son invitation faite à Finkielkraut.
Nous les remercions et pensons que le racisme n’est pas une fatalité. Nous avons le devoir et les moyens de le combatre, faute de quoi nous devrons nous estimer responsables de son développement et non seulement victimes.
La pression internationale s’intensifie contre l’entreprise Veolia pour qu’elle cesse sa participation dans la construction du tramway raciste et illégal qui va relier Jérusalem ouest aux colonies de Cisjordanie. Des navettes de Connex ont été bloquées à Genève. Suite aux protestations des syndicats et d’IPSC en août 2006, Veolia Transport – Irlande a annulé ses projets de formation du personnel israélien qui s’occupera de la ligne de tramway à Jérusalem. En novembre, la banque hollandaise, ASN, a décidé de retirer ses investissements de Veolia jusqu’à ce que la compagnie respecte les résolutions de l’ONU. Ne soyons pas en reste : relayons la campagne lancée par Stop The wall !
Voici un livre qui ne fait pas plaisir à tout le monde. Ce qui explique sans doute qu’à peine publié, il soit boycotté. Les dessous de la politique française au Moyen-Orient, tel est le sujet d’enquête de Richard Labévière, journaliste (RFI) qui vient de faire une série de révélations permettant de mieux comprendre comment et pourquoi la France s’est totalement alignée sur la politique américano-israélienne au Moyen-Orient. Il donnera une conférence samedi 18 novembre à la LIBRAIRIE RESISTANCES à Paris.
Le film de Ken Loach, Palme d’Or au festival de Cannes, sur la guerre d’indépendance irlandaise, vient de sortir en France. Pour combien de temps ? Cela dépendra du taux de fréquentation des salles qui projettent ce film, et donc de nous. Ne le manquez surtout pas : c’est un film magnifique et bouleversant qui pose le problème de la violence impérialiste sous toutes ses formes, de la possibilité de résister à cette violence, malgré la disproportion des moyens en présence, et de la nécessaire vigilance face à tous ceux qui peuvent compromettre le succès d’un combat en prenant pour argent comptant les promesses de l’occupant.
Saluons également le geste de Ken Loach, qui boycotte le
Festival du film de Haïfa, afin de répondre à l’appel au boycott des institutions israéliennes lancé par la société civile palestinienne. (lire les interviews ci-dessous).
Voici les scènes de check-point que nous jouons dans la rue.
Les comités et associations qui sont intéressés par cette action, facilement reproductible, peuvent nous contacter pour disposer de toutes les informations: le script que nous avons mis au point, le tract que nous diffusons aux spectateurs, etc.
Comment quelqu’un d’éduqué devient nécessairement une brute, un animal, un criminel, quand il sert dans l’armée d’occupation israélienne ? C’est l’histoire que raconte à la première personne le sergent chef Liran Ron Furer, qui ne trouve plus le sommeil après les atrocités qu’il a commises à Gaza. Son livre vient de trouver un éditeur en Israël, mais pour le moment personne ne veut le diffuser. Gideon Levy, journaliste courageux, en donne quelques extraits dans Haaretz.
« L’Etat d’Israël est devenu une force motrice dans la destruction des barrières établies par l’espèce humaine pour sa propre préservation », démontre Tanya Reinhart* dans on nouveau livre publié par les éditions La Fabrique. Un ouvrage qui permet de mieux comprendre comment le « désengagement » de Gaza a servi « d’écran de fumée », comment la construction du Mur « de séparation » permet de voler les terres palestiniennes les plus fertiles et de préparer le transfert de 400.000 Palestiniens, et comment l’Autorité Palestinienne a nui à lutte de libération palestinienne, en collaborant avec l’occupant.
Le boycott des produits israéliens, à l’heure où le gouvernement israélien affame la population palestinienne, en plus d’annexer ses terres, de piller ses ressources, d’emprisonner et d’assassiner un peuple sans défense sur une terre occupée, est le minimum que nous puissions faire en tant que citoyens. Tout comme pour l’Afrique du Sud de l’apartheid, le boycott des produits israéliens ne peut se réduire à s’abstenir d’acheter certains produits « made in Israël ». Nous devons également faire savoir à ceux qui proposent ces produits à la vente qu’ils sont dans l’illégalité, en ne respectant pas ni les droits de l’homme, ni le droit international, et souvent même ni la réglementation en vigueur en matière de traçabilité.
A l’heure où le gouvernement israélien s’est fixé comme objectif d’affamer les Palestiniens, l’achat de savons à l’huile d’olive en provenance de Naplouse est un geste de soutien important.
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