Pas d’interlocuteur pour la paix en Israël
Gush Shalom souligne dans Haaretz que le Hamas fait des offres de paix généreuses et que le gouvernement israélien fait la sourde oreille.
Gush Shalom souligne dans Haaretz que le Hamas fait des offres de paix généreuses et que le gouvernement israélien fait la sourde oreille.
En fondant le Fatah (Mouvement de Libération de la Palestine) en 1959 à Koweït avec une poignée d’exilés, Yasser Arafat, âgé de 30 ans, a bien conscience que la route sera longue. Mais il n’imagine pas les calomnies que concentreront sur sa personne, jusqu’à sa mort, les dirigeants israéliens.
Le 23 mai 1960, le Premier ministre Ben Gourion annonce la capture en Argentine et l’extradition du SS Adolf Eichmann, acteur majeur du génocide de 6 millions de Juifs.
Dans le cadre de la surenchère prétendument « pro-israélienne » à laquelle se livrent les deux candidats à l’investiture démocrate Barack Obama et Hillary Clinton, cette dernière vient de prendre un avantage, en promettant tout bonnement de « rayer l’Iran de la carte ».
Cinq ans après que l’armée israélienne a assassiné James Miller,
caméraman britannique, Israël qui a longtemps soutenu qu’il avait été tué par des tirs palestiniens, aurait décidé d’indemniser sa famille, à condition qu’elle abandonne sa demande de juger en Grande-Bretagne les soldats impliqués dans cet assassinat. Lire l’article d’ISM qui rapporte notamment les déclarations de la famille de james Miller au journal britannique The Guardian.
Des dizaines de millions de femmes, d’hommes et d’enfants menacés de mourir de faim dans le monde : c’est même à la télé. « On va les aider », « On va leur prêter de l’argent », « On va donner plus de subventions à nos agriculteurs pour qu’ils produisent plus et vendent plus au tiers-monde »… Il faut savoir traduire : « On va les aider à s’enfoncer un peu plus dans la misère et la souffrance parce ce que c’est la vocation du système économique actuel ».
Sous l’impulsion des Etats-Unis, l’ONU lance en 1961 une mission sur la question des réfugiés palestiniens, confiée à l’Américain Joseph Johnson. Il s’agit de mettre en œuvre la résolution 194, votée 13 ans plus tôt, qui établit le droit au retour dans leurs foyers de toutes les personnes déplacées par la guerre.
Nous reproduisons ci-dessous une interview du militant palestinien Daoud Hamoudi, publiée par le site Electronic Intifada, qui analyse les projets d’économie coloniale en projet pour les territoires palestiniens occupés, et dont la mise en oeuvre a été ébauchée à l’occasion de la pseudo-conférence de paix d’Annapolis, fin 2007
(Interview recueillie par Stefan Christoff, traduction en français par Lianne Faili)
Les livraisons d’armes américaines à Israël commencent en 1962, et concernent initialement des engins « défensifs », en l’occurrence des missiles sol-air Hawks, destinés à équilibrer la réception, par l’Egypte, d’engins similaires de fabrication soviétique. A cette date, l’arsenal israélien en produits de haute technologie est surtout constitué d’armes de fabrication française, les avions de combat de la firme Dassault en particulier. Mais progressivement, à partir des années 1960, les Etats-Unis font le choix de s’appuyer en priorité sur Israël pour défendre leurs intérêts stratégiques dans cette région riche en pétrole, et ils en deviennent les premiers fournisseurs.
Le gouvernement vient d’annoncer l’ouverture du processus de
régularisation des 600 grévistes, annonce Daroits Devant !! dans le communiqué ci-dessous.