« une journée à l’Université d’Abou Dis », par Julien SALINGUE
Chronique d’une journée ordinaire à l’Université d’Abou Dis, par Julien Salingue, qui effectue actuellement un séjour de trois mois en Cisjordanie. (Voir son blog ci-dessous)
Chronique d’une journée ordinaire à l’Université d’Abou Dis, par Julien Salingue, qui effectue actuellement un séjour de trois mois en Cisjordanie. (Voir son blog ci-dessous)
On observe indubitablement quelques frémissements intéressants aux Etats-Unis concernant la remise en cause du soutien inconditionnel apporté par l’administration américaine à la politique israélienne. Hillary Clinton et Barack Obama ont beau se faire de la surenchère sioniste, l’AIPAC, principal lobby pro-israélien, semble dans une position moins confortable. Ci-dessous un article instructif du site Rue89.
Article du Monde ci-dessous.
Le gouvernement compte-t-il s’excuser d’avoir limogé le sous-préfet Bruno Guigue ?
Palestine, Comores, Afrique, Afghanistan : nous relayons ci-dessous plusieurs manifestations annoncées ces prochaines semaines.
Un article de Julien Salingue qui fait le point sur la situation économique, sociale et politique en Cisjordanie.
Gush Shalom souligne dans Haaretz que le Hamas fait des offres de paix généreuses et que le gouvernement israélien fait la sourde oreille.
Dans le cadre de la surenchère prétendument « pro-israélienne » à laquelle se livrent les deux candidats à l’investiture démocrate Barack Obama et Hillary Clinton, cette dernière vient de prendre un avantage, en promettant tout bonnement de « rayer l’Iran de la carte ».
Cinq ans après que l’armée israélienne a assassiné James Miller,
caméraman britannique, Israël qui a longtemps soutenu qu’il avait été tué par des tirs palestiniens, aurait décidé d’indemniser sa famille, à condition qu’elle abandonne sa demande de juger en Grande-Bretagne les soldats impliqués dans cet assassinat. Lire l’article d’ISM qui rapporte notamment les déclarations de la famille de james Miller au journal britannique The Guardian.
Des dizaines de millions de femmes, d’hommes et d’enfants menacés de mourir de faim dans le monde : c’est même à la télé. « On va les aider », « On va leur prêter de l’argent », « On va donner plus de subventions à nos agriculteurs pour qu’ils produisent plus et vendent plus au tiers-monde »… Il faut savoir traduire : « On va les aider à s’enfoncer un peu plus dans la misère et la souffrance parce ce que c’est la vocation du système économique actuel ».
Nous reproduisons ci-dessous une interview du militant palestinien Daoud Hamoudi, publiée par le site Electronic Intifada, qui analyse les projets d’économie coloniale en projet pour les territoires palestiniens occupés, et dont la mise en oeuvre a été ébauchée à l’occasion de la pseudo-conférence de paix d’Annapolis, fin 2007
(Interview recueillie par Stefan Christoff, traduction en français par Lianne Faili)