« La terre et la liberté », par Julien LACASSAGNE
Après Jérusalem et Naplouse, Julien Lacassagne se rend à Qaryout, village entre Naplouse et Ramallah.

Après Jérusalem et Naplouse, Julien Lacassagne se rend à Qaryout, village entre Naplouse et Ramallah.
RPour la troisième fois depuis le début de la grève de la faim des sans papiers de Lille, la police a raflé des grévistes de la faim. Mardi matin à l’aube CRS et policiers sont intervenus pour enfermer dans des commissariats et placer en garde à vue 41 grèvistes de la faim, certains en grève depuis plus de 60 jours. Hier soir, dix d’entre eux ont été transférés au centre de rétention du Mesnil Amelot (Roissy).
Reposters Sans Frontières (RSF) rapporte qu’un journaliste correspondant de la télévision syrienne est détenu depuis trois semaines sans explication en Israël, après avoir été arrêté dans le Golan.
Depuis vendredi dernier, près de 600.000 habitants de la Bande de Gaza sont privés d’électricité, parce que l’Autorité Palestinienne a fait interrompre l’approvisionnement en fioul de la centrale électrique de Gaza, prétextant que le Hamas détournerait les fonds qui lui sont alloués.
Notre « ingérent humanitaire » préféré est allé donner de sa personne en Irak pour soutenir Bush qui en a bien besoin, à l’heure où le fiasco américain est dénoncé de toutes parts.
Deux prisonniers sur 200 détenus du camp de Jénine libérés. Un retour sans joie, relaté par Gideon Lévy. Traduction de Michel Ghys.
Julien lacassagne poursuit sont périple en Palestine.
La Grande Bretagne est le seul pays européen où il est légal de recruter des jeunes de moins de 18 ans, (majoritairement issus de milieux défavorisés), pour en faire des enfants soldats.
C’est sans rire que certains médias ont relayé l’information publiée par le Washington Post, concernant la « disparition de 190 000 fusils d’assaut Kalachnikov ainsi que des pistolets », soit un tiers des armes distribuées aux forces irakiennes par les Américains entre 2004 et début 2007.
« Israël est un ghetto sioniste, un endroit violent », écrit l’ancien président de la Knesset Avraham Burg, dans son essai intitulé « Lenatzea’h èt Hitler (Vaincre Hitler). Dans une interview au Quotidien Haaretz, traduite et publiée par Courrier International, il explique pourquoi il compare Israël à Hitler, et indique notamment que la loi du Retour, qui octroie la citoyenneté israélienne à toute personne née dans la diaspora et considérée comme juive selon la tradition religieuse orthodoxe, est le reflet de la doctrine d’Hitler, et la définition reprise littéralement par les lois de Nuremberg. « La dimension israélienne de mon identité me coupe de mes deux autres dimensions, l’humaine et la juive », indique-t-il pour expliquer son antisionisme.