Israël annonce la construction de 2500 logements supplémentaires dans une colonie de Cisjordanie et aucun gouvernement ne bronche. Pourquoi donc se gêner ? C’est bien connu : pour pouvoir faire des « concessions » et des « offres généreuses » lors des négociations, il faut d’abord s’être « généreusement » servi !
L’association basque Askapena appelle au boycott du concert de la chanteuse israélienne, Noa, à San Sebastien les 25 et 26 février prochains, en raison des propos scandaleux tenus par celle-ci dans une lettre à la population de Gaza, le 8 janvier dernier.
Récit du Dr Zouhair LAHNA*, qui a séjourné dans la Bande de Gaza pendant deux semaines après le cessez-le-feu, et qui en repart avec un sentiment d’admiration et d’envie face à l’esprit d’indépendance et de fratenité qu’il a rencontré sur place.
Le vaste mouvement de grève, lancé il y a trois semaines en Guadeloupe, s’est depuis étendu à la Martinique et devrait prochainement toucher aussi bien la Guyane que la Réunion, où des appels à rejoindre la lutte pour une amélioration des conditions de vie ont aussi été lancés.
Près de 200 personnes s’étaient mobilisées, dès 18 H dimanche, pour accueillir le convoi humanitaire « Viva Palestina » qui faisait étape à Bègles.
La Coalition Israélienne des Femmes pour la Paix a mis sur pied un projet intitulé « Qui profite de l’occupation israélienne ? » et vient de lancer une banque de données en ligne (www.whoprofits.org) qui liste les entreprises collaborant directement à l’occupation de la Cisjordanie, de la Bande de Gaza et des Hauteurs syriennes du Golan.
Le Syndicat des Etudiants de l’Université de Manchester a fait adopter une motion de soutien à la population de Gaza, dont une résolution de boycott d’Israël, au cours d’une assemblée générale d’urgence, cette semaine.
Longtemps en sommeil en France, après l’énorme rouleau compresseur sioniste qui s’est abattu sur le campus de Paris 6 en 2003*, le milieu universitaire français commence à se remobiliser après les massacres de Gaza. Ci-dessous l’appel au boycott de nombreux universitaires français.
